N’oubliez pas de chanter ce sommaire à chaque changement de chapitre. Cliquer sur la flèche de GAUCHE pour accéder à la page suivante…
On lève le verre pour faire le kiddouch
Boire au moins la moitié du verre en s’accoudant sur le côté gauche.
Attention! Seul le chef de famille se lave les mains sans prononcer de bénédiction.
Chacun trempe une petite de quantité de céleri ou de persil dans de l’eau salée. On dit la bénédiction, puis on mange sans s’accouder
Les enfants : regardez bien où l’aphikoman est cachée. Il faudra la chiper sans que personne ne s’en aperçoive afin de pouvoir l’échanger au dessert contre…une promesse de cadeau !
On retire l’oeuf et l’os du plateau du seder pour lire ce passage.
Il est d’usage que le ou la plus jeune de la famille chante ce passage (même si ce n’est que le premier couplet, même en l’aidant un peu…)
Et c’est parti pour une longue traversée…
Pas la peine de loucher sur le plateau du seder, ce n’est pas du tout l’heure du Hillel sandwich…
Oui, ça ressemble bien à une bénédiction, mais, faux espoir, on ne va rien manger ensuite…
Vous suivez?
Un conseil : si vous vous ennuyez, suivez l’histoire en français, elle raconte comment les Hébreux sont sortis d’Egypte.
C’est bien, continuez !
Encore un peu, on va bientôt chanter…
Rapprochez votre verre, nous arrivons aux 10 plaies!
À chaque lecture d’une plaie, on trempe son doigt dans le verre et on dépose une goutte dans son assiette. On peut recommencer l’opération pour le moyen mnémo-technique: Detsah’ (3), Adash (3), Beah’av (4). Ce qui fait 20 gouttes dans votre assiette. Attention à ne pas trop tâcher la nappe !!
Dans certaines familles, il est d’usage de lire ces explications scientifiques par les 3 rabbis en français, cela permet de faire un peu de maths le ventre vide… et de passer plus vite à Dayenou !
C’est la fête ! chantez de bon coeur !
Ceci est le résumé de Dayenou.
Si vouliez faire un seder plus court, dites simplement: Pessah, Matsah, Maror !
Arrêtez de tourner les pages, on y est bientôt !
Concentrez vous! vous n’êtes pas venus que pour manger !
C’est l’heure de mettre les Kneplich dans la soupe !
Profitez-en pour vous dégourdir les jambes.
Pour être Yotsé (être quitte), on doit manger kazaït (environ 30g de matsah).
Pour le H’arosset: mixez ensemble pommes, jus de raisin, dattes, amandes, cannelle.
Attention ça va être spicy…
Enfin ! Et chez vous qu’est qu’on mange?
Les enfants, c’est le moment de négocier.
On échauffe ses cordes vocales avant la seconde partie.
Bon, on a sauté “rabotaï nevarer” dans l’audio, mais si vous avez plus de 3 hommes, il faut le faire !
Allez, chantez avec nous.
Tous ensemble!
Mais non! ce n’est pas si long que ça!
Le Birkat, ça passe plus vite en chantant…
Si vous avez un doute, on dit bien Migdal yeshouot etc…
On referme la porte à la fin de cette page.
On n’est pas encore couché !
On se réveille, on va chanter !
Chantez de bon coeur!
Pour ceux qui le connaissent bien, même accoudés, redressez-vous pour mieux chanter ! Chanté ici par Adolphe Attia et la Chorale de la synagogue de Nancy en 1973
L’on ne s’arrete pas de chanter ! Le 1er paragraphe est chanté par Adolphe Attia et la Chorale de la synagogue de Nancy en 1973
À tue-tête c’est facile.
Si vous savez bien lire l’hébreu, c’est votre solo !
Certains pourront lire en français pour mieux comprendre…
Écoutez quelle jolie mélodie !
Rien à voir avec l’arche de Noé…
Prenez votre billet d’avion pour l’année prochaine !
Eh oui ! Serait-ce précurseur de “dans la forêt lointaine”?
Le plus facile pour les enfants, tout fini par “ou”
L’Omer se compte à partir du 2ème seder.
Attention, ça commence lentement, mais on va accélerer…
Allez ! on compte !
Accrochez-vous !
Encore plus vite !
Ça y est vous êtes perdus?
Bravo!
C’est la dernière! allez-y de bon coeur !
C’est l’histoire de la chèvre, non?
Vous en perdez votre Hébreu? Normal, c’est de l’araméen…
C’est le délire à la maison ! Bon courage pour coucher les enfants… Quelle soirée !