Les règles de calculs utilisées pour ce site

Ce site est programmé pour suivre les règles des différents types d’années (cf : En bref… ou presque ! ou bien La valse des Parashyot !). En passant en revue toutes les situations de chaque moment de l’année, ou de chaque anniversaire, il est apparu un certain nombre de cas particuliers.

Cette page va donc d’une part, expliquer les cas particuliers, les règles d’exceptions dans certains cas, et d’autre part les méthodes utilisées pour l’affichage des horaires (cf : Quand est-ce que ça tombe, cette année…? ou bien Retour vers le Futur !).

Tout ceci afin que la curiosité des uns soit satisfaite et l’inquiétude des autres sur la précision de ces horaires soit évaporée.

Le calcul des Bar/Bat Mitsvah

A la naissance d’un garçon, à partir de sa date de naissance hébraïque, on ajoute 13 ans. Le jour et le mois (hébraïque) seront donc le même pour son anniversaire des 13 ans religieux.
Pour une fille, on calcule 12 ans et non 13 pour connaître le moment de la Bat Mitsvah.

Cas particuliers lorsque le type d’année entre l’année de naissance et de Bar/Bat Mitsvah est différent (si le jour ou le mois n’existe pas dans le type d’année de l’anniversaire)

  • Si le garçon est né un 30 Heshvan, il sera Bar Mitsvah le 1er Kislev, si l’anniversaire se trouve une année déficiente ou normale.
  • Si le garçon est né un 30 Kislev, il sera Bar Mitsvah le 1er Tevet, si l’anniversaire se trouve une année déficiente.
  • Si le garçon est né au mois d’Adar durant une année simple, il sera Bar Mitsvah au mois d’Adar II, si l’anniversaire se trouve une année embolismique.
  • Si le garçon est né au mois d’Adar I durant une année embolismique, il sera Bar Mitsvah au mois d’Adar, si l’anniversaire se trouve une année simple.
  • Si le garçon est né le 30 du mois d’Adar I durant une année embolismique, il sera Bar Mitsvah au 1er Nissan, si l’anniversaire se trouve une année simple.
  • Si le garçon est né au mois d’Adar II durant une année embolismique, il sera Bar Mitsvah au mois d’Adar I, si l’anniversaire se trouve une année simple.

Pour connaître l’anniversaire hébraïque d’une date civile, il est impératif de savoir si l’évènement (naissance ou décès) a eu lieu avant la tombée de la nuit. Car dans le cas contraire, le jour hébraïque suivant a déjà commencé, et la date d’anniversaire (parfois aussi la Parasha lue pour la Bar Mitsvah) s’en trouve changée.

Si vous n’êtes pas sûr, le module alternative utilise l’adresse, l’heure et la date de l’évènement pour déterminer la position du soleil par rapport au lieu de votre évènement sur terre et détermine si à ces dates et heures, le jour hébraïque suivant a déjà commencé.

Enfin, pour le cas des naissances vendredi soir ou samedi soir aux limites de Shabbat, bien que cela créer pas mal de cas particulier pour les Brit Milah, la règle reste cependant la même pour la date d’anniversaire (et donc la date de la Bar/Bat Mitsvah, et la parasha qui en découle). Si la naissance à eu lieu vendredi soir avant le couché du soleil même si Shabbat est déjà rentré, l’anniversaire de l’enfant sera celui du Vendredi. De même que si la naissance à eu lieu un samedi soir après le couché du soleil mais avant la fin de Shabbat, l’anniversaire de l’enfant sera celui du Samedi.

Le calcul de la Parasha lue au moment de la Bar Mitsvah

Il faut d’abord rappeler que l’obligation religieuse est principalement de porter les téphilines à partir du jour de ses 13 ans religieux et de monter à la Torah.
Il est souvent de tradition que le Bar Mitsvah puisse lire (chanter, cantiller) un passage, quelques montées d’une Parasha ou la Parasha entière, la Haftara, une partie ou l’intégralité de l’office de la semaine, du Shabbat etc…
Ce site a pour vocation de transmettre à ceux qui le souhaitent la liturgie hébraïque ashkénaze pour tous ces textes.
Ce n’est donc pas une obligation mais il est d’usage que le jeune Bar Mitsvah célèbre cet évènement en lisant dans la Torah, le Shabbat qui suit le jour de ses 13 ans hébraïque.
Cette page utilise en effet cette tradition pour proposer la Parasha associée à une date de naissance. Vous entrez votre date de naissance civile, elle est convertie en date hébraïque. On ajoute 13 ans et on regarde la Parasha du Shabbat suivant.
Nous proposons au Bar Mitsvah de lire la Parasha lue dans le lieu où il sera (Israël ou hors Israël) le Shabbat qui suit ses 13 ans hébraïque, même si cette dernière peut parfois être différente de celle qui était lue le Shabbat suivant sa naissance (cf : la Valse des Parashyot !).

Lorsque l’anniversaire hébraïque des 13 ans tombe un Shabbat, selon la tradition Ashkénaze, le Bar Mitsvah lira dans la Torah lors de ce Shabbat et mettra les Tephilines dès le lendemain. C’est sur cette tradition qu’est basé le calcul de ce site.

Le calcul des Hazkara (ou Yortzeit)

Pour connaître un anniversaire de décès, il faut savoir la date hébraïque du décès ; ce sera cette date qui marquera chaque année l’anniversaire de décès.
Pour connaître les rituels funéraires, de deuil, de Kaddish, etc… rdv sur la page “Pour les rites funéraires… ז”ל”.
Vous entrez donc la date civile du décès et elle est convertie en date hébraïque. Nous vous fournissons ensuite les conversions en date civile de chaque anniversaire pour les 50 années suivantes.

Note: le premier Yortzeit (le premier anniversaire) intervient 12 mois (hébraïques) après le jour de l’enterrement. Ce n’est qu’a partir du 2ème Yortseit, que nous nous basons sur la date du décès.

Concernant la récitation du Kadish la première année, elle s’arrête 11 mois (hébraïques) après le jour de l’enterrement. Pour les même raison que toutes les autres dates, il est évidemment important de savoir si l’enterrement à eu lieu avant ou après le couché du soleil pour savoir si le jour hébraïque suivant à commencé.

Si vous n’êtes pas sûr, le module alternative utilise l’adresse, l’heure et la date de l’évènement pour déterminer la position du soleil par rapport au lieu de votre évènement sur terre et détermine si à ces dates et heures, le jour hébraïque suivant a déjà commencé.


Cas particulier pour les décès

  • Si le décès a eu lieu un 30 Heshvan, donc pendant un Rosh H’odesh de deux jours, il faudra se reférer au 1er anniversaire un an plus tard. Si cet anniversaire a lieu dans une année complète, les anniversaires suivants, qui seront dans une année normale ou déficiente, seront commémorés le 1er Kislev, afin que cet anniversaire tombe toujours durant Rosh H’odesh, sinon la date d’anniversaire sera le 29 Heshvan.
  • Si le décès a eu lieu un 30 Kislev, donc pendant un Rosh H’odesh de deux jours, il faudra se reférer au 1er anniversaire un an plus tard. Si cet anniversaire a lieu dans une année normale ou complète, les anniversaires suivants qui seront dans une année déficiente seront commémorés le 1er Tevet, afin que cet anniversaire tombe toujours durant Rosh H’odesh, sinon la date d’anniversaire sera le 29 Kislev.
  • Si le décès a eu lieu pendant le mois d’Adar d’une année simple, il sera commémoré pendant le mois d’Adar I lors des années embolismiques (chez les Ashkénazes seulement).
  • Si le décès a eu lieu pendant le mois d’Adar I (d’une année embolismique donc), il sera commémoré pendant le mois d’Adar lors des années simples.
  • Si le décès a eu lieu le 30 Adar I (d’une année embolismique donc), il sera commémoré pendant le 30 Shevat lors des années simples.
  • Si le décès a eu lieu pendant le mois d’Adar II (d’une année embolismique donc), il sera commémoré pendant le mois d’Adar lors des années simples.

Pour connaître l’anniversaire hébraïque d’une date civile, il est impératif de savoir si l’évènement (naissance ou décès) a eu lieu avant la tombée de la nuit. Car dans le cas contraire, le jour hébraïque suivant a déjà commencé, et la date d’anniversaire (parfois aussi la Parasha lue pour la Bar Mitsvah) s’en trouve changée.

Si vous n’êtes pas sûr, le module alternative utilise l’adresse, l’heure et la date de l’évènement pour déterminer la position du soleil par rapport au lieu de votre évènement sur terre et détermine si à ces dates et heures, le jour hébraïque suivant a déjà commencé.

Enfin, pour le cas des décès vendredi soir ou samedi soir aux limites de Shabbat, bien que cela créer pas mal de cas particulier pour d’autres évènement (comme la Brit Milah), la règle reste cependant la même pour la date d’anniversaire de décès. Si le décès à eu lieu vendredi soir avant le couché du soleil même si Shabbat est déjà rentré, l’anniversaire de décès sera celui du Vendredi. De même que si le décès à eu lieu un samedi soir après le couché du soleil mais avant la fin de Shabbat, l’anniversaire de décès sera celui du Samedi.

Les décalages des jours de jeûne

Excepté le jour de Kippour, il n’est pas permis de jeûner pendant Shabbat.

Voici donc les règles de décalage qui s’appliquent automatiquement sur ce site :

Lorsque les jeûnes de Gedalia, du 10 Tevet, du 17 Tamouz, ou de Tisha beAv tombent un Shabbat, ils sont alors décalés au lendemain (dimanche).

Lorsque le jeûne d’Esther (veille de Pourim) ou le jeûne des Premiers-nés (veille de Pessah’) tombent un Shabbat, ils sont alors décalés à l’avant-veille (jeudi).

Le calcul des horaires

Introduction :

Tout d’abord, même avec les plus grandes méthodes mathématiques, ces horaires auront toujours une petite part d’imprécision dûe à des facteurs que nous ne pouvons pas prendre en compte comme la température, la pression atmosphérique, votre localisation dans une grande ville (qui peut varier de plusieurs kilomètres)…

A savoir que votre montre ou votre portable ne sont jamais précisément à l’heure non plus, il est préférable de rajouter (ou d’enlever selon la situation) 2 minutes à ces horaires.

Règle de base :

Comme le jour hébraïque commence à la tombée de la nuit (cf : En bref…ou presque !), et donc bien avant minuit, début du jour civil, il est important de savoir comment trouver ce moment du soir qui sépare le jour hébraïque du jour civil du lendemain.

Ce moment s’appelle Shkiyat Hah’ama (déclin du soleil). C’est le moment où le centre du soleil fait un angle de – 0,833 degrés avec l’horizon. Théoriquement, le soleil a déjà disparu, mais avec la réfraction de l’atmosphère, les rayons du soleil nous parviennent encore. C’est le moment où le soleil se couche.

Les horaires de Shabbat et des fêtes :

L’entrée de Shabbat ou d’une fête commence quelques minutes avant la Shkiyat Hah’ama. Ces “minutes de sécurité” (on va dire) s’appellent Tossefet Shabbat (l’ajout du Shabbat).

Dans la plupart des communautés, Tossefet Shabbat est d’une durée de 18 minutes. C’est ce que nous avons pris en compte pour ce site à l’exception de Jérusalem, où la durée du Tossefet Shabbat est de 40 minutes.

Sur ce site, à Jérusalem, les horaires de Shabbat ou d’une fête correspondent à 40 minutes avant Shkiyat Hah’ama, tandis que pour le reste du monde, ces horaires correspondent à 18 minutes avant Shkiyat Hah’ama.

La sortie d’une fête ou de Shabbat, “Motse Shabbat”, est calculée ainsi : C’est le moment où le centre du soleil fait un angle – 8,5 degrés avec l’horizon.

Lorsqu’une fête commence un samedi soir, l’entrée de la fête correspond au Motse Shabbat.

Lorsqu’une fête finit un vendredi soir, elle s’enchaîne avec Shabbat. Il est alors possible d’utiliser le feu d’une bougie déjà allumée pour les bougies de Shabbat. (prévoir une bougie de 48 ou 72 heures).

Les horaires d’allumage des bougies de H’anouccah :

L’heure pour allumer les bougies de H’anouccah d’un samedi soir correspond aussi au Motse Shabbat.

L’allumage du vendredi soir tombe à Plag Haminh’a, c’est à dire plus tôt que les autres jours. Pour connaître cet horaire, il faut d’abord définir le temps d’une “heure proportionnelle” (Shaot Zmaniyot), que l’on obtient en divisant par 12 le temps qui sépare le lever du soleil (Hanetz) du coucher du soleil (Shkiah’ Amitis). Plag Haminh’a se situe alors 1,25 Shaot Zmaniyot avant Shkiah’ Amitis.

Pour l’allumage des bougies le reste de la semaine, on calcule comme pour l’entrée du Shabbat.

Les horaires des jeûnes :

Concernant Kippour, les horaires correspondent à ceux d’entrée et de sortie de la fête.

Concernant les jeûnes de Gedalia, du 10 Tevet, d’Esther (veille de Pourim), des premiers-nés (veille de Pessah’) et du 17 Tamouz, la règle est la suivante :

Ces jeûnes débutent à l’aube (Alot Hashaschar), lorsque le centre du soleil fait un angle de -16,06 degrés avec l’horizon.

Ces jeûnes finissent lorsque la nuit tombe (Tzeit Hakoh’avim), lorsque le centre du soleil fait un angle de -7,15 degrés avec l’horizon.

Concernant le jeûne de Tisha beAv, il finit au même moment relatif de la journée que les jeûnes ci-dessus, mais il commence la veille au soir au même moment relatif de la journée que le début de Kippour.

Les horaires concernant le h’amets à Pessah’:

La recherche du h’ametz (Bedikat H’ametz) s’effectue à partir de la tombée de la nuit, Tzeit hakoh’avim, et lorsque le jeûne des premiers-nés se termine. En concordance à ce jeûne, la recherche du h’ametz se fait de manière générale la veille du premier Séder de Pessah’. Si ce premier Séder tombe un samedi soir, la recherche du h’ametz s’effectuera le jeudi soir au moment de la tombée de la nuit.

Quelque soit la situation, on brûle ce h’ametz le lendemain (en règle générale, cela tombe le jour du 1er Séder, mais si le 1er Séder tombe un samedi soir, on brûle le vendredi). L’horaire avant lequel il faut avoir brûlé le h’ametz est spécialement calculé pour ce Biour H’ametz. Il s’agit de 5 “heures proportionnelles” (Shaot Zmaniyot) après le lever du soleil.

Enfin, le moment où il faut cesser de consommer du h’ametz se situe le jour du 1er Séder, au moment de Sof Zman Tefila , l’heure à laquelle il faut avoir fini la prière du matin (Amida). Il s’agit de 4 “heures proportionnelles” (Shaot Zmaniyot) après le lever du soleil.

Événement après la tombée de la nuit

Comme le jour hébraïque commence à la tombée de la nuit (cf : En bref…ou presque !), et donc bien avant minuit, début du jour civil , il importe de savoir pour calculer un anniversaire de naissance ou de décès (ou autre d’ailleurs) si l’événement a eu lieu avant ou après la tombée de la nuit.
(Si vous avez un doute ou bien si vous ne connaissez pas cette information, nous la recherchons pour vous .
Nous prenons en compte la date, et l’heure de l’évènement. Nous recherchons la longitude, la latitude du lieu de l’évènement, ainsi que le fuseau horaire et l’application de l’heure d’été ou d’hiver. )

Ensuite, nous prenons le moment où le soleil se trouve à -0,833 degrés sous l’horizon. Nous appelons ce moment shkiyat hah’ama.
Si l’événement a lieu après ce moment, alors l’anniversaire sera le jour hébraïque suivant.

Notez que nous ne prenons pas en compte l’altitude du lieu. Bien que théoriquement, cela ait bien un impact sur l’heure de la Shkiyat hah’ama, le degré d’incidence est tellement dérisoire par rapport à la distance qui nous sépare du soleil, que cette différence est négligeable.

Le changement de jour n’est pas tranché dans la Halah’a. Pour certains, c’est la Shkyia, pour d’autres la sortie des étoiles. Il y a donc un doute concernant le changement du jour. Ce site prend en compte la Shkya pour les changements de jours ordinaires.
Or, quand il y a un doute, la règle est la suivante :
S’il s’agit d’une mitsva ordonnée par la Torah, on tranche selon l’avis rigoureux (Shkyia).
S’il s’agit d’une mitsva ordonnée par les rabbins, on tranche selon l’avis le moins rigoureux.
Le Shabbat et les fêtes sont des mitsvots ordonnées par la Torah.

  • Dans le cas où un événement (naissance, décès) survient un vendredi en fin de journée avant la Shkiyat hah’ama mais après l’entrée du Shabbat (qui a lieu 18 minutes avant la Shkyiat hah’ama), la date de cet événement est la date hébraïque du vendredi (journée).
  • Dans le cas où un événement (naissance, décès) survient un samedi en fin de journée après la Shkiat hah’ama mais avant la sortie du Shabbat (qui a lieu au moment où l’on voit 3 étoiles dans le même champ de vision, lorsque le centre du soleil fait un angle de -8,5 degrés sous l’horizon), la date de cet événement est la date hébraïque du Shabbat. Cependant, comme il y a un doute sur cette date, nous ferons pour une naissance la Brit Mila le dimanche suivant et non le samedi suivant (sous réserve que le taux de bilirubine soit acceptable si votre enfant a eu la jaunisse, sinon on décale…). La date d’anniversaire de cet enfant se verra donc décalée au jour suivant (l’équivalent hébraïque du dimanche, lendemain du samedi de sa naissance).
  • On procède avec la même règle pour les événements proches des entrées et des sorties de fêtes.
Cas particuliers pour les horaires

Dans les régions polaires, où les jours et les nuits peuvent durer plusieurs semaines, ou bien les régions proches des régions polaires où le moment de la shkiyat hah’ama est difficile à définir, il est recommandé de se reporter à la communauté locale pour connaître les horaires que vous recherchez. En effet, dans ces régions, les horaires ne peuvent plus se calculer selon la méthode des degrés. Ce sont alors des choix rabbiniques qui diffèrent selon les communautés et l’endroit où l’on se trouve qui définissent les horaires de tel ou tel événement.

Heure d’été / Heure d’hiver

Le changement d’heure a été instauré en France à la suite du choc pétrolier de 1973-1974. Depuis 1998, les dates de changement d’heures ont été harmonisées au sein de l’Union Européenne. Dans tous les pays membres, le passage à l’heure d’hiver s’effectue le dernier dimanche d’octobre et le passage à l’heure d’été, le dernier dimanche de mars. Ce paramètre est donc bien pris en compte sur ce site pour le calcul des horaires, dans les villes de France, Bruxelles, Suisse et Luxembourg.

En Israël, ce changement d’heures est différent. Depuis 2013, il débute le vendredi qui précède le dernier dimanche de mars et le dernier dimanche d’octobre. Ce paramètre est également pris en compte pour le calcul d’horaires dans les villes d’Israël.

Le cas spécial de Pourim

Pour les calculs de calendrier concernant Israël, la date de Pourim Shushan est indiquée afin de permettre aux habitants de Jérusalem, mais également de certaines autres villes qui se base sur cette date pour célébrer Pourim, de savoir quand lire ou écouter la Meguila (pensez à aller sur Meguila 2.0 )

Si Pourim Shushan tombe un Shabbat, alors, lors ce Purim appelé Purim Hamechulah’, la Meguila sera lu le jour précédent (Jeudi soir et Vendredi) et la fête célébré le Dimanche (jour suivant).

Les périodes de deuil

Il y a d’abord les 7 jours de Shiva suivant l’enterrement (le jour de l’enterrement comptant comme le 1er jour).

Lorsque le défunt est un père ou une mère, la période de deuil s’arrête au premier Yortzeit.

Lorsque le défunt est un frère, une soeur, un conjoint ou un enfant, la période de deuil s’arrête 30 jours après le jour de l’enterrement. Cependant, passé les 7 jours de shiva, si une fête religieuse (seulement pour Rosh Hashana, Kippour, Souccot, Pessah et Shavouot) intervient dans les 21 jours restant, alors le deuil s’arrête au plus tôt au moment de cette fête.

Si vous avez une question, besoin d’une précision, un commentaire ou une remarque, n’hésitez pas à nous contacter via le formulaire de contact.